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A PROPOS

HISTOIRE DE LA GALERIE

La Galerie Pellat de Villedon n’est ni une boutique, ni un musée ; elle est, avant tout, le lieu où se célèbre et où se vit l’Art de vivre du XVIIIe siècle, dans une atmosphère chaleureuse qui invite chacun à vivre un voyage hors du temps dans un cadre familier. Convaincue que les meubles et les objets, qui sont avant tout des œuvres d’art, ont une histoire à raconter, et désireuse de s’en faire le flambeau, la Galerie recrée des intérieurs XVIIIe avec des pièces qui couvrent le XVIIe et le XVIIIe siècle. Exigeante quant à la qualité de ses œuvres, chaque pièce répond à des critères d’authenticité, d’esthétisme et d’originalité qui font de la Galerie Pellat de Villedon un nom incontournable de la spécialité. Elle offre un large éventail d’objets d’art, pouvant aller des meubles estampillés Riesener à des bronzes montés Rocaille. Cette appétence particulière pour cette période fait écho à l’histoire de la ville de Versailles, qui a vu grandir notre Galerie. L’aventure a effectivement commencé à Versailles, par l’ouverture d’une première galerie, rue du Baillage, qui s’est vite avérée trop petite au regard de l’activité qui s’y tenait, si bien qu’une deuxième, puis une troisième galerie se sont ouvertes dans la même rue. Le succès ne démentissant pas, c’est naturellement que la Galerie a investi l’Hôtel de Bouillon, son nouvel écrin situé à cent mètre du château de Versailles, en décembre 2021. Cet espace nous permet de mieux valoriser une sélection haut-de-gamme, en réponse à l’exigence de la Galerie qui met un point d’honneur à proposer des pièces souvent signées des maîtres, aux formes riches et élégantes. Nous renforçons de plus le lien fort qui nous unit à Versailles et à son histoire dont nous revendiquons l’héritage au travers de notre identité. Outre un goût soigneusement travaillé, la Galerie suit une ligne dynamique, dans un secteur en perpétuel renouvellement. Acheter à la Galerie Pellat de Villedon, c’est plus que simplement repartir avec une œuvre sous le bras : c’est être convié à des dîners aux chandelles, vivre une véritable expérience, échanger avec des passionnés de longue date, avoir un suivi de collection sur-mesure, des conseils pertinents pour l’agencement de vos intérieurs, et surtout, c’est se créer des souvenirs. La Galerie s’investit également dans les grands évènements du marché de l’art, comme la Biennale où nous aimons à créer des espaces éphémères originaux, invitant ainsi le visiteur et le collectionneur à vivre un moment unique.

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LUDOVIC PELLAT DE VILLEDON

L’essence de la Galerie Pellat de Villedon puise ses sources chez son fondateur, Ludovic. Ses parents Jean-Yves et Odile Pellat de Villedon, antiquaires à Versailles depuis 1965 dans le Carré Saint Louis, lui ont transmis le goût du XVIIIe siècle. Cette prédisposition et sa passion pour le mobilier l'ont donc poussé à ouvrir sa propre galerie en 2006, à Versailles, désormais au 2 bis, rue Carnot. Il aime soigner la mise en scène de ses objets, le raffinement et souhaite le partager. De cette manière, la relation qu'il entretient avec ses clients est une priorité pour lui. Il attache une grande importance à l'expérience que peuvent ressentir ces derniers. Ainsi, il aime régulièrement recevoir ses clients à la galerie au cours de ses "dîners de collectionneurs", parmi ses objets : un instant privilégié, convivial et amical où chacun peut échanger sur sa passion. Si vous poussez la porte de l’Hôtel de Bouillon, il vous accueillera avec joie, aidé dans cette mission de Tan, son charmant teckel, et second maître des lieux où tous deux ont établi leurs quartiers. L’esprit de la Galerie et les souvenirs qui s’y créent sont donc liés à la personnalité de Ludovic Pellat de Villedon. Il se veut d’ailleurs un antiquaire actif et souhaite faire entrer le XVIIIe siècle dans une certaine modernité. C'est pourquoi, il est membre du SNA (Syndicat National des Antiquaires) depuis de nombreuses années.

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HÔTEL DE BOUILLON

La Galerie Pellat de Villedon offre à ses visiteurs un nouvel écrin : l’Hôtel de Bouillon. Cette adresse fait partie de l’Histoire, notamment celle de Versailles. Ses murs sont les véritables témoins d’un quotidien aujourd’hui disparu et que nous souhaitons vous raconter. Tout commence en 1670, lorsque Godefroy Maurice de la Tour d’Auvergne, duc de Bouillon, Grand Chambellan de France à partir de 1658 jusqu’à la mort de Louis XIV, décide de faire construire son hôtel particulier au pied du château et de la place d’Armes, comme il se devait pour un bâtiment seigneurial. L’Hôtel de Bouillon est donc bâti sur des plans de Louis Le Vau, et est l’un des premiers et des plus beaux hôtels de Versailles. Il reste dans la famille jusqu’en 1820. Son entrée se faisait alors par la rue des Réservoirs et s’étendait du 2 au 4 rue Carnot, jusqu’à l’actuelle chapelle protestante, rue du Peintre Lebrun. Il subit, entre 1862 et 1871, des modifications qui répondent aux souhaits du nouveau propriétaire, le sieur Antoine Gibus, célèbre chapelier. Celui-ci en démolit une partie (côté rue des Réservoirs) et ouvre l’Hôtel sur la rue Carnot. Il donne à la façade l’aspect que nous lui connaissons aujourd’hui, avec ses balustres symétriquement répartis, ses frontons et ses ornements. Au-dessus de la porte d’entrée, Antoine Gibus fait sculpter le masque de sa fille dont la beauté était renommée, motif repris par deux masques latéraux. L’hôtel de Bouillon est ainsi le fruit de plusieurs époques : d’abord celle du règne du Roi-Soleil, puis du XIXe siècle, qui le fait architecturalement évoluer. Les différents propriétaires y ont aimé, célébré, reçu, etc., faisant de l’hôtel de Bouillon un témoin de ces nombreuses vies qui y ont déroulé leurs jours. Les collections de la Galerie Pellat de Villedon en occupent aujourd’hui deux niveaux, et s’articulent entre différents espaces, dont deux salons, une lumineuse galerie, un boudoir tous privatisables sur demande. La Galerie Pellat de Villedon est heureuse d’écrire ce nouveau chapitre de l’histoire de l’Hôtel en y proposant des meubles, tableaux, sculptures, cartels et autres objets d’époque qui perpétuent par là-même un certain art de vivre à la française, dans ce que le XVIIIe avait de plus beau.